Les micronouvelles sont des esquisses, des tintinnabulements. Peu d’éternité dans le verbe tintinnabuler, de l’ordre de l’éclosion répétitive et de la disparition soudaine. Le silence qui suit la claudication sonore des clochettes et autres timbres métalliques, donne à notre existence un sentiment d’inachevé.
C’est dans le cadre volontairement contraint d’un texte court, guère plus de 3000 mots, que l’auteur greffe une histoire.
Capter le moment singulier, sans plus d’avant ni d’après.