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« Mozart et Schubert, à la fin de leur vie, ont su pareillement atteindre à cette sagesse où l’expérience ultime paraît tendre la main à l’enfance intacte. »
Harry Halbreich.
C’est ce qu’écrit le musicologue à propos de Gabriel Fauré et plus précisément de la Sonate n°2 pour violon et piano en mi mineur.